Groupe de travail O3D Responsabilité sociétale
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Ce document est la synthèse à ce jour, du Groupe de travail Responsabilité sociétale de O3D, dont l’objectif est de définir une vue d’ensemble de ce domaine, de donner une bibliographie succincte des documents et sites web qui sont apparus comme les plus pertinents aux membres du groupe de travail, de lister les domaines complémentaires à aborder dans une démarche multidisciplinaire, de proposer des sujets d’études dans le cadre de thèses ou de mémorandums, d'indiquer des directions de décisions qui pourraient être prises dans l’avenir et des domaines possibles d’innovation.
Sommaire
Membres du groupe de travail
Synthèse très très préliminaire
Le rapport Brundland - comme la recommandation SD 21000 et la norme ISO 26000 qui en sont des prolongements - provoque sans que cela soit vraiment dit, ni peut être même perçu, un renversement culturel fondamental. Lequel ? Celui de la prise de conscience que le progrès de l'humanité passe non plus seulement par le progrès des individus, mais par celui des sociétés et des organisations. En réalité, ces documents ne s'adressent pas à leur destinataires apparents, les sociétés et organisations qui auraient décidé de prendre en main leur responsabilité sociétale, mais aux parties prenantes qui doivent le leur imposer. Le renversement culturel serait que les parties prenantes ne peuvent l'imposer qu'en adoptant elles mêmes la démarche en prennent réellement leur destiné en main, non pas en revendications corportistes, mais dans une approche où tout est interdépendant et où tout se résoud sur une volonté affirmée de toute les parties de vouloir résoudre les conflits, car leur non résolution conduirait à la destruction de l'humanité.
Les trois cercles - social - économique et sociétal ne prennent leur sens que si toutes les parties prenantes adoptent la même approche, ce qui naturellement est sur-réaliste... On est là dans des domaines extrêmement complexe de résolution de conflits d'intérêts et d'idéologies. La faiblesse fondamentale des documents mentionnés ci-dessus, c'est tout simplement d'ignorer cette problématique fondamentale en laissant à penser qu'il suffit d'avoir beaucoup de bonne volonté pour que les vrais problèmes soient par enchantement résolus (RV : à développer)
(reprise de la page alternative)
Le rapport Brundland, la recommandation SD 21000 et la norme ISO 26000 qui en sont des prolongements, provoquent, sans que cela soit vraiment dit, ni peut être même perçu, un renversement culturel fondamental. Lequel ? Celui que le progrès de l'humanité passe non plus seulement par le progrès des individus, mais par celui des sociétés et des organisations. En réalité, ces documents ne s'adressent pas à leur destinataires apparents, les sociétés et organisations qui auraient décidé de prendre en main leur responsabilité sociétale, mais aux parties prenantes qui doivent le leur imposer.
Le renversement culturel serait que les parties prenantes prennent réellement leur destinée en main, non pas en revendications corporatistes, mais dans une approche où tout est interdépendant et donc où tout se résoud sur une volonté affirmée de toute les parties de vouloir résoudre les conflits, car leur non résolution conduirait à la destruction de l'humanité.
Les trois cercles - social, économique et sociétal - ne prennent leur sens que si toutes les parties prenantes se placent dans leur propre stratégie au centre des trois cercles. L'erreur fondamentale et naturelle est de croire que ces documents ne s'adressent qu'aux sociétés/organisations. Ils s'adressent en effet aux sociétés/organisations mais aussi aux parties prenantes dans une approche contractuelle qui ne peut fonctionner que si tous s'engagent. (RV : à développer)
Bibliographie
- Le rapport Brundland
- La norme SD 21000 (Afnor)
- La norme ISO 26000
Sites Web
- La certification AFAQ 1000NR sur le site de l'AFNOR
